Challenges – La campagne qui a souligné la métamorphose

Publicité LCL avec François Berléand

En cette soirée des césars 2010, Valérie Lemercier déclenche l’hilarité du public en ironisant sur des absents dans la salle : « LCL tourne cette nuit à Epinay sa nouvelle campagne, devenue le rendez-vous incontournable du cinéma français. » Car, de Lambert Wilson à Antoine de Caunes, nombre de comédiens ont prêté leur visage à la marque, devant la caméra de Jean-Michel Ribes. La campagne exprime la stratégie maison : replacer le client au centre. « La première fois que le premier rôle est tenu par un client, décode Olivier Aubert, patron de l’agence Asap, en charge du budget. Pas de posture institutionnelle, LCL a communiqué sur ses produits. » Le public adhère.

Selon la Sofres, la publicité affiche le meilleur taux de mémorisation spontanée du secteur (25% fin 2012), malgré un budget plus modeste que la plupart des concurrents : 48 millions d’euros en 2012. Deux fois moins que celui de la Société Générale, dont le taux de mémorisation de sa campagne Esprit d’équipe, fin 2012, n’est que de 10%.

Challenges.

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